SAISON 2024/2025
La nouvelle saison 2024-2025 pour les cours débutera le dimanche 1 septembre à 19H au Dojo/Studio.
L’animal choisi pour cette année rend hommage à ce superbe batracien qui nous prouve une fois de plus la suprématie du règne animal dans les sauts et virevoltes en tout genre. Celui-ci nous révèle parfaitement avec grâce leur aptitude à l’exécution « Othadi pongi », saut vertical du Meithaari en Kalarippayattu
SAISON 2023/2024
La nouvelle saison 2023-2024 pour les cours débutera le dimanche 3 septembre à 19H au Dojo/Studio.
L’animal choisi pour cette année rend hommage à Nasalis larvatus de Bornéo qui est un des rares mammifères avec l’homme et le gibbon entre autres à utiliser la station debout. Cette image ci-dessus révèle parfaitement leur aptitude au saut rappelant indéniablement « Thirinhu Chaadi », saut en virvolte du Meithaari en Kalarippayattu
SAISON 2022/2023
Nouvelle saison 2022/2023 à partir du jeudi 1 septembre à 20h au Dojo/Studio pour les avancés.
A partir du lundi 5 septembre à 20h, nouveaux cours pour les débutants dans les locaux de l’association la Flèche de Bordeaux à Saint-Michel, 21 rue Ulysse Despaux. 2h de cours par séance comme d’habitude tous les lundis (20h-22h) et mercredi (7h-9h et 16h30-18h30).
Cours d’essai gratuit tout le mois de septembre.
P.s : Rhinopithèque de Roxellane exécutant parfaitement « Chavitti pongi »
SAISON 2021/2022
Nouvelle saison 2021/2022 à partir du jeudi 2 Septembre à 20h au Dojo/Studio.
Quel animal tenterez-vous d’incarner cette année pour étudier l’accomplissement du saut » Thirinhu Chaadi » ?
Celui de l’Impala ou du Léopard ?
C’est l’été !
Voici le planning de nos interventions pour la manifestation Quai des Sports qui se déroulera du 13 juillet au 11 août 2019 à Bordeaux, et tout est gratuit, vous devez juste passer à l’accueil et vous inscrire. En espérant vous faire découvrir tous les bien faits de nos activités.
Bonjour à tous,
Prochaine rentrée :
Dimanche 1 Septembre 2019 à 19h au Dojo, 13 rue Tiffonet à Bordeaux
Avec le plaisir de vous voir tous en pleine forme !
Votre serviteur,
Master TFL
N.b : Le coût des cours se répartit de la manière suivante : 15 € d’adhésion annuelle à l’association Sangham, forfait de 450 € le pass pour l’année pour 3 cours /semaine; sinon cours à la carte à 20 € le cours sinon pass 10 cours à 150 €. Possibilité de régler en plusieurs fois. Nous contacter pour plus d’informations si besoin. Merci.
Projection Unique !
Diffusion du documentaire de Ian Mc Donald « Inside the Kalari » rendant hommage au regretté Shri C.V. Govindankutty naîr Gurukkal ce lundi 17 Juin à 19h30 à l’Utopia, suivi d’un débat avec les spectateurs. Entrée libre et ouverte à tous…
Casseneuil.
Du kalaripayat au Festival de l’Inde
Lors de la séance de kalaripayat./Photo DDM, G.G.
Tandis que certains boivent un tchai confortablement assis sur les coussins, d’autres dans la petite salle de l’espace multifonctionnel découvrent la pratique du kalaripayat avec Cyril Carrier. C’est la première fois que cette discipline est présente au Festival de l’Inde.
Cet art martial, très peu connu du grand public, serait «la mère historique des arts martiaux. Sa pratique remonte à la nuit des temps. Elle ne se limite pas au combat. Les maîtres appelés Gurukkal enseignent aussi l’art de soigner par les plantes. Ce sont en quelque sorte des médecins guerriers. Ils sont considérés comme des demi-dieux», explique Cyril Carrier.
Le kalaripayat est enseigné en Inde dans la province de Kérala. Il est possible d’apprendre cet art dès l’âge de 8 ans.
Lors des ateliers, Cyril Carrier initient les personnes aux postures de base mais aussi à se déplacer dans l’espace et à placer sa respiration. Tout se passe en souplesse et dans le silence. Chaque geste est expliqué, argumenté et réalisé dans le calme. «Il est indispensable de prendre le temps d’acquérir les bonnes positions pour pouvoir évoluer», argumente Cyril Carrier. Habituellement, il dispense le kalaripayat à Bordeaux. «Nous sommes une quinzaine à l’enseigner en France». En général, un cours dure 2 heures.
Un combat ressemble à un ballet. Les pratiquants combattent avec leurs mains et leurs pieds mais aussi avec des bâtons, des sabres et des boucliers. G.G.
La Dépêche du Midi